La feuille de lotus, la peau de requin, ou encore les pattes des geckos font partie des exemples de la nature qui ont inspiré, par biomimétisme, le développement de nouveaux produits, systèmes ou processus fonctionnels.
L’auteur nous explique, en citant différents organismes et entreprises, que la fabrication additive autorise de nouveaux modes de conception et vient élargir le champ des possibles pour le biomimétisme.
Ainsi l’impression 3D permet d’envisager des structures géométriques très complexes, impossibles à réaliser jusqu’ici, pour le biomédical, le bâtiment, ou des matériaux auto-cicatrisants.
L’article cite notamment Z3Dlab, Autodesk, XtreeE, Dassault Systèmes, LafargeHolcim, le projet MX3D, l’association Biomimicry Europa, et le Ceebios (Centre Européen d’Excellence en BIOmimétisme de Senlis).
Afin de coller au plus près de la nature, l’enjeu sera aussi de pouvoir mettre en oeuvre des matériaux renouvelables et recyclables.
Source: lesechos.fr – 12/2016