Mode in Textile

Birla Cellulose lance une étiquette à planter avec Livaeco

Birla Cellulose, l’activité pâtes et fibres du groupe indien Aditya Birla, a dévoilé une étiquette pouvant être plantée pour sa nouvelle gamme de tissu écologique Livaeco. À travers l’étiquette, Birla Cellulose souhaite créer une empreinte environnementale positive en introduisant et en engageant les consommateurs avec des pratiques respectueuses de l’environnement, du sourcing à la dégradation finale du vêtement. 

Liva est initialement un tissu doux et fluide qui tombe et se drape bien. Il est confortable, doux, naturel et écologique. La marque a récemment lancé la version améliorée du tissu, appelée Livaeco, composée de pâte de bois issue de forêts certifiées FSC.

Livaeco améliore la fluidité en utilisant une foresterie durable à 100%, une consommation d’eau et d’émissions de gaz à effet de serre minimale, une biodégradabilité et une traçabilité des sources rapides. “L’objectif de Livaeco est d’inciter les clients à adopter des pratiques durables et respectueuses de l’environnement afin de protéger l’avenir de la mode“, a déclaré Birla Cellulose dans un communiqué.

Photo: Birla Cellulose

L’étiquette Livaeco est fabriquée avec un papier composé de fibres biodégradables recyclées. L’étiquette peut être semée dans une jardinière pour obtenir une belle plante. À cette fin, l’étiquette doit être préalablement trempée dans l’eau pendant 5 à 6 heures. La balise imbibée doit ensuite être plantée sous un demi-pouce de sol et placée au soleil. Les graines germeront dans 5-6 jours si l’humidité est assurée, mentionne la société sur l’étiquette.

Les consommateurs pourront acheter des vêtements confectionnés avec du tissu Livaeco dans les magasins ‘W’ en Inde au cours des saisons printemps été 2019 et automne hiver 2019. Ils seront en mesure d’identifier le tissu grâce à l’étiquette verte Livaeco sur le vêtement. De plus, chaque vêtement Livaeco est doté d’un traceur moléculaire unique, qui aide l’acheteur final à retracer l’origine et le parcours du vêtement qu’il achète.

Source: https://www.fibre2fashion.com – 25/04/19