Mode in Textile

Barbie refait sa garde-robe, chez Yves Saint Laurent !

Ça y est, nous sommes passés à l’heure d’hiver, les jours sont désormais très courts, froids et humides, mais la féérie de Noël est encore loin. Pourtant, depuis plusieurs semaines déjà, les catalogues de jouets abondent dans nos boîtes aux lettres. Peut-être même avez-vous déjà préparé votre commande au Père Noël ? Si ce n’est pas le cas, nous vous recommandons de vous dépêcher car nous vous avons dégoté de quoi ravir les grands enfants addicts de mode. En association avec le Musée Yves Saint Laurent, Mattel sort trois poupées Barbie vêtues des tenues les plus emblématiques du couturier.

Des Barbies, mais pas des jouets

Contrairement aux habitudes du fabricant de jouets, ces trois beautés ne sont pas baptisées en fonction de leur spécialité professionnelle ou de leur passion. Ici, elles sont identifiables à leurs toilettes. Disponibles depuis le 5 novembre sur le site de Mattel, elles seront bientôt visibles dans les rayons du Bon Marché, dans le septième arrondissement de Paris. Mais à presque 200 euros la Barbie, en édition limitée bien sûr, ces ravissantes poupées ne sont pas à réserver aux jeux des plus jeunes. Elles sauront en revanche raviver les souvenirs de leurs aînées.

Trois looks emblématiques de Yves Saint Laurent

La première, yeux de biche et coiffure façon Twiggy, porte une reproduction de la célèbre robe Mondrian, créée en 1965, assortie de souliers noirs à bouts carrés et boucles argent. La deuxième, plus casual mais tout aussi élégante, laisse échapper une cascade de boucles blondes sous son chapeau à franges. Dans sa saharienne kaki et son bermuda noir réhaussés d’une ceinture à anneaux métalliques et d’une paire de genouillère en daim noir, on croirait retrouver le mannequin Vogue pour qui avait été réalisée cette veste mythique en 1968. Enfin, la dernière, carré mi bouffant mi plaqué et maquillage glamour, arbore la sublime robe de soirée Paris. Composée d’un bustier en satin de soie rose et d’une longue jupe fendue de velours de soie noir, surmontés d’un gigantesque noeud aposé dans le creux des reins, elle évoque bien entendu les défilés de 1983.

Novembre 2018.